Oh belle oasis papa papapam [Vive Dulourd !]

[=>Petite musique pour le début<=]

"J'me baladais dans le désert, le coeur ouvert à l'univers, j'avais envie de m'envoler vers l'ciel étoilé.
L'ciel étoilé plein de tendresse, de beauté sombre et de promesses, allongée seule sur l'sable chaud et les pieds dans l'eau.
Oh, belle oasis, papa papapam
Oh belle oasis, papa papapam...."

Ah, le désert et sa beauté enivrante. Personne ne pouvait y être insensible bien longtemps, pas même Malya, ce qui expliquait pourquoi elle se laissait ainsi aller. Et pourtant, durant la première partie de son périple, elle avait maintes et maintes fois maudit ce lieu, la chaleur, la sécheresse, le sable et le Soleil qui cognait fort. Mais alors que celui-ci commencait enfin à se coucher et que la mauvaise humeur de la jeune femme allait en décroissant, Malya s'était surprise à sourire plusieurs fois sans raisons réelles, juste parcequ'elle était heureuse. Un bonheur décuplé par la vue de l'oasis. Celle qui se faisait connaitre comme étant "les Ailes de la Nuit" s'était précipité vers ce petit coin de paradis, avait enlevé d'un geste ses vêtements et avait prestement plongée dans l'eau. Et maintenant, vétue de ses sous-vêtement, elle se laissait sécher par la chaleur que le sable, chauffé toute la journée par l'astre du jour, laissait échapper. Et comme elle était détendue, elle chantonnait tranquillement, savourant un instant de calme et de quiétude dans son périple vers la Grande Arène du Désert.
Cela faisait d'ailleurs quelques jours qu'elle marchait dans cette direction. Elle avait entendu dire en Hyrule qu'un tournoi y était organisé et avait résolu de s'y rendre. Mais la route est longue entre la citadelle d'Hyrule et la forteresse du Désert Gérudo, et Malya était bien contente de pouvoir se reposer un peu avant d'atteindre son but. Mais comme chacun le sait, les nuits dans le désert, et en particulier dans les oasis, restent rarement calme bien longtemps puisqu'à cette heure où il fait moins chaud, les animaux viennent se désaltérer. Et justement, les broussailles autour de Malya s'agitaient. La guerrière se releva d'une roulade en direction de ses armes et se saisit de son poignard. Dans cet espace étroit, il lui serait plus utile que son arc en cas de besoin. Puis il lui permettait d'éclairer un peu au alentour grâce à son aura lumineuse...

C'était un Bublin organisé, mais extremement malchanceux. Dulourd, qui avait alors été désigné pour un grand tournoi gerudo, cause sûrement du fait qu'il était le seul à avoir la disponibilité d'y aller (les autres étaient parti pour pilier des caravanes, des chanceux au yeux de Dulourd), partit une semaine en avance pour gagner l'arène. Mais cette tâche, qui avait l'air facile au début pour lui, allait devenir un vrai calvaire. Tout d'abord, ayant appris que l'on avait volé son sanglier, il eut l'obligation d'en capturer un au desert. Voilà, déjà ça, c'était un jour de moins, puisqu'il avait fini cette besogne vers minuit, le départ était reporté au matin. Le second jour, sa botte de bonne aventure, offert par un clodo contre 3 rubis fut volé. Depuis qu'il avait ces bottes, Dulourd ne cessait de survivre au pire situation dans laquelle il se fourait. Aussi, puisque dans l'arène, les combat qu'il allait menait était bien dangereux, à la limite de la mise en jeu de sa propre vie, il ne pouvait partir sans. Encore un jour, à se balader dans tout le village pour les trouver. Problème, les bottes furent à moitié dévoré, aussi dut-il gaspillé un troisième jour pour acheter de la laine discrètement déguisé en hylien avec un copain pour les réparer, puis un quatrième pour les recoudre (Dulourd était doué dans ce domaine). 5ème jour, le jour de son grand départ, mais ayant passé des nuit blanches à faire toutes ses besognes, il se trompa de chemin, et se trouva dans les bois perdu. 5 ème jour de gaché à trouver la sortit tout en étant dévisager mainte fois par Skull Kid. Le 6ème jour, il avait soif, le tournoi allait bientôt commencer, mais peu importe, il avais surtout très soif, privé d'eau au bois perdu pendant 24 heures. Ayant trouvé par hasard un masque Zora, il décida par le même temps de boire de l'essayé dans une oasis qu'il connaissez très bien. Mettant son sanglier au loin, il déposa ses habit pour se retrouver complètement dénudé (zizi vert à l'air) et se baigner. Masque Zora en tête, il put respirer à sa guise, trop peut-être, car tellement fatigué de ses nuit blanche, il s'endormit dans l'eau. Lorsqu'il se réveilla, il sortit de l'eau, touchant en sortant la broussaille alentour et enlevant son masque pour laisser apparaitre un autre masque cachant sa bouche. Ayant entendu un bruit humain, il retourna sa tête vers la droite pour y voir une chasseuse. Par surprise grande, il sauta en l'air, puis pointa du doigt la jeune femme :

"-Je vous jure, ce masque je l'ai pas volé, je l'ai acheté, je vous jure !!"

Ayant adopté une posture de défense, Malya s'attendait à voir surgir un fauve quelconque, un sanglier du désert, ou une créature inoffensive. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle vit surgir des broussailles...
*Un moblin ? Et nu de surcroit ! Ah non, pas tout à fait, il a un masque sur sa.... bouche*
Déjà que Malya était déjà surprise par l'arrivée inopportune de ce moblin, quoique à la réflexion cela semblait plutôt logique, le désert aussi étant leur domaine, elle fut littéralement sidérée lorsque celui-ci s'exprima. En hylien. Avec un léger accent rocailleux et un ton vaguement effrayé qu'elle ne releva même pas.

-Je vous jure, ce masque je l'ai pas volé, je l'ai acheté, je vous jure !!
-Je.... Tu.... Tu parles ?! Enfin tu parles hylien je veux dire ? Bah m***e alors ! Hem, désolée, pas l'habitude du tout d'entendre un moblin parler comme toi, je pensais qu'ils ne savaient que pousser des cris et des grognements. Comme quoi la vie nous réserve parfois des surprises.... Heuuuu, je m'appelle Malya, Malya Roustland. Et toi tu t'appelles ......? Et que viens-tu faire dans le désert si je puis me permettre ?

Une fois sa surprise passée, Malya avait vite repris contenance et avait engagé la conversation avec un naturel troublant, sans même paraître se rendre compte de l'étrangeté de la situation : un moblin "parlant" et une hylienne impulsive, tout deux plus qu'à moitié nus, discutant comme des gens bien élevés, le soir au bord d'une oasis. Remarque, c'est toujours mieux que de discuter avec un cailloux en étant assis sur un cactus sur un mont enneigé. Encore que.....
Bref, toujours est-il que l'hylienne attendais la réponse du moblin en se faisait mille et une hypothèses. Peut-être l'avait-il entendu chanter et s'était dis qu'elle ferait une bonne proie ? Non, ça ne collait pas, il paraissait bien trop surpris. Ou alors qu'il s'était endormi dans l'oasis à un endroit que Malya n'avait pas vu et qu'il venait de surgir par hasard, ou encore qu'il veanit d'arriver et qu'il souhaitait se désaltérer, pensant être seul ? Moui, s'était plus plausible. Mais en ce cas pourquoi venir là, il y avait bien d'autres oasis nettement plus belles ? A moins que.... cette oasis était la seule à proximité de l'Arène, ce pouvait-il qu'il y participe ? Après tout, pourquoi pas...

Dulourd était bien géné. Les deux personnes à poil près de l'oasis lui faisait beaucoup penser à ces scène érotique que l'on nommé chez les hylien des stimulateur de sex... Il était vrai que les entredeuxjambes du bulbin commençait à se durcir, mais cela ne se voyait car il caché cette partie sensible grâce au masque Zora qu'il avait trouver. De calcul, le bublin put rapidement s'apercevoir que elle aussi encore, était bien étonné de voir un Bublin parler Hylien. Il faut dire aussi qu'il était un vrai cas spécial de son clan. La quesiton de Mayla lui fit réfléchir à une réponse, devait-il dire la vérité à une inconnue ? Qui puisait, qui était armé, vu les habilles qui était à côté d'elle. Son nom ? Son age ? Et sa réponse à sa réfléxion bien bête sur les grognement... Il comencça d'abord à cacher ses partie sous le buisson, se retourna, et regarda le ciel et les oiseaux groisillant, le temps que la femme derrière lui, très sexy et jolie, s'habille histoire qu'il ne reste pas retourné toute la journée...

"-Je... Je m'appelle Dulourd... Je suis un Bublin qui aime lire des livre et qui est passionné par les hylien... Je... Je sais compter, lire, écrire, et je connais l'histoire hylienne. Mais ceci... Seulement niveau CM2..."

Que faisait-il dans le desert ? Et bien dans le cas présent, il y avait 2 raisons, la première était évidente, il habitait ici, à une dizaine de kilomètre, son campement, ses amis, et tout le reste y était. La seconde raison était le tournoi, auquelle il devait participé, et qui ne lui avait pas sortie de la tête... Que devait t-il répondre ? Il décida finalement de ne dire que ses raison pour le tournoi, histoire de ne pas signaler son emplacement de clan à ce qui pourrait être son "ennemi"...

"-J'ai été invité au tournoi non loin. Est-ce de même pour vous ?"

...faire dans le désert si je puis me permettre ?
"-Je... Je m'appelle Dulourd... Je suis un Bublin qui aime lire des livre et qui est passionné par les hylien... Je... Je sais compter, lire, écrire, et je connais l'histoire hylienne. Mais ceci... Seulement niveau CM2..."-J'ai été invité au tournoi non loin. Est-ce de même pour vous ?"
Constatant que le moblin était parti cacher ses parties dans un buisson et qu'il lui tournait le dos, Malya comprit que cela le génait de discuter en ayant une personne nue ou presque en face de lui, aussi prit-elle le temps de se rhabiller un tantinet, ce qui vu l'état de sa tenue ne faisait pas grande différence, avant de se tourner vers Dulourd.
-Alors comme ça Dulourd, tu aime lire et tu es passionné par les hyliens ? Ils n'ont pas grand chose d'exceptionnel pourtant, rien du tout même... Et pour répondre à ta question, oui je compte bien participer aussi au tournoi. Et gagner. Ah, et tu peux te retourner, je suis rhabillée, même si je vois pas ce qui te dérangeait... Dis, et si on passait la nuit ensemble puisqu'on va au même endroit ? Enfin je veux dire avoir un seul et même camp pour la nuit hein pas coucher ensemble...

Une fois que Dulourd se fut lui aussi rhabillé *Qu'est-ce qu'il est pudique ce moblin* et eut rejoins Malya à son invitation, les deux camarades s'installèrent au bord de l'oasis, assis devant un feu de camps.
Quelques petits bruits se faisaient entendre par-ci par-là mais rien d'alarmant. Aprsè un long moment silence, Malya rompit de nouveau la quiétude du lieu _ et oui, elle est bavarde la petite_ :

Dulourd ? Tu pourrais me parler des moblins ? En retour je te parlerais des hyliens. On sait tellement peut de choses l'un sur l'autre.

[ouaip, c'est très court, désolé]

HRP : Enfin le temps de répondre ! X.x

Le temps que son intelocuteur se rabille, Dulourd regardait, en formation de V, constatant que les oiseau allait une fois de plus quitté les contré d'Hyrule. On appellait ça immigration, mais le bublin ne su jamais ou ils allait. Peut-être un meilleurs endroit qu'ici, ou monstre et hyliens se font la paix. En tout cas, Duliurd se posait la question depuis qu'il avait lu ce livre sur les oiseaux. Lorsque la jeune femme eut terminer de s'habiller, le petit monstre vert se retourna. Il en avait aussi profité pour s'habiller de son côté, de sa cotte de maille extremement fine et légère, et de ses gants et bottes grossière. Cette même femme lui dit :

"-Alors comme ça Dulourd, tu aime lire et tu es passionné par les hyliens ? Ils n'ont pas grand chose d'exceptionnel pourtant, rien du tout même... Et pour répondre à ta question, oui je compte bien participer aussi au tournoi. Et gagner. Ah, et tu peux te retourner, je suis rhabillée, même si je vois pas ce qui te dérangeait... Dis, et si on passait la nuit ensemble puisqu'on va au même endroit ? Enfin je veux dire avoir un seul et même camp pour la nuit hein pas coucher ensemble..."

Une nuit ensemble... Cette question le génait encore plus. Devenant tout rouge pendant quelques secondes, il se gratta la nuque, fit 2 tour sur lui même, puis regarda le sol d'un air géné. Une hylienne qui veut dormir avec une laideurs comme lui, n'était pas non plus très normal. C'était la première fois pour Dulourd d'avoir cette occasion, aussi, décida t'il d'acquiesser par un signe de tête, sans dire mot. Il n'en put en lacher un, il était trop stressé, au point même d'avoir failli faire pipi dans son pantalon, voir même, lacher une gros excrement Bublin, tel qu'il avait l'habitude de faire en concours avec ces confrères.... Un peu plus tard, ils installèrent un feu de camps. A pars quelques bruit pas méchant, rien d'larmant ne se présentait. Un long silence ce fit pendant assez longtemps, n'ayant pas de sujet de conversation à se dire, mais c'est alors que l'hylienne rompit le silence pour demander :

"-Dulourd ? Tu pourrais me parler des moblins ? En retour je te parlerais des hyliens. On sait tellement peut de choses l'un sur l'autre."

Enfin quelque chose de quoi parler. Dulourd avait gros à dire sur les bublin, ce peuple reconnue comme barbare. Il allait enfin pouvoir défendre sa race, face au fausses idée que se faisait les Hylien. Prenant un air très sérieux, et regardant le feu, il répondit :

"-Le bublin ? Ils sont pareil à vous je crois. Y'en a des gentils, y'en a des méchants. Il faut cependant dire que ce qui nous divergent, je crois que c'est nos maitres. Je ne sais pas pourquoi, mais votre roi veut tuer ganondorf. Moi, je ne peut que le défendre, cet homme est un dieu pour moi. En ce qui concerne le système de l'argent, contrairement à vous, les Hylien, nous n'utilisons pas de rubis. Non, chez nous, chacun s'aide, gratuitement. Il st vrai que dès fois, on prend des rubis, mais c'est seulement pour exposer des choses, des trophé dans nos tentes. Mise à part ce fait, c'est vrai que nous, les bublin, sont assez sales. Je dois avouer que vos technique de nettoyage sont impressionnant. Les fourchette, les couteau, vos brosses à dent, on a pas ça chez nous ! Et surtout, vos plats !"

"-Dulourd ? Tu pourrais me parler des moblins ? En retour je te parlerais des hyliens. On sait tellement peut de choses l'un sur l'autre."

Il y eut un instant de silence puis Dulourd se racla la gorge et entama d'un air sérieux :

"Les bulbins ? Ils sont pareils à vous je crois. Y'en a des gentils, y'en a des méchants. Il faut cependant dire que ce qui nous divergent, je crois que c'est nos maitres. Je ne sais pas pourquoi, mais votre roi veut tuer ganondorf. Moi, je ne peut que le défendre, cet homme est un dieu pour moi. En ce qui concerne le système de l'argent, contrairement à vous, les Hylien, nous n'utilisons pas de rubis. Non, chez nous, chacun s'aide, gratuitement. Il st vrai que dès fois, on prend des rubis, mais c'est seulement pour exposer des choses, des trophé dans nos tentes. Mise à part ce fait, c'est vrai que nous, les bublin, sont assez sales. Je dois avouer que vos technique de nettoyage sont impressionnant. Les fourchette, les couteau, vos brosses à dent, on a pas ça chez nous ! Et surtout, vos plats !"

-Nos.... plats ? Qu'est-ce qui te plait donc dans ce qu'on mange ? C'est sommes toute assez banal : y a des trucs délicieux et d'autres qui sont à gerber. Tiens, par exemple, les escargots c'est absolument divin, mais les huïtres... Pouah, qu'elle horreur !
Et encore, j'ai pas pris ce qu'il y a de pire.
Enfin bref, merci de m'avoir parlé de ton peuple. Y a pas hein, on, nous les hyliens, vous connait mal. Très mal. P't-être pour ça qu'on arrête pas de s'entre-taper sur la gueule.

Ensuite de quoi la jeune femme parla des hyliens à son compagnon. Pour lui, elle relata l'histoire globale d'Hyrule selon les hyliens_ du moins ce qu'elle en savait_ tenta de lui expliquer la religion hylienne, le fonctionnement de la hiérarchie.....
Elle parla si longtemps que la Lune, qui ne faisait que commencer à s'élever lorsqu'elle avait débutait, commençait déjà à descendre dans le ciel et le feu de camp était presque éteint.

"...Et voilà, tu sais tout sur les hyliens. 'Fin du moins tout ce que je sais moi. Et maintenant bonne nuit !"

Et sur ces bonnes paroles Malya ôta son plastron_ elle détestait dormir avec_ s'enroula dans son couchage et ferma les yeux. Elle s'agita un peu, cherchant une position plus confortable et ne bougea plus.
Alors que Dulourd pensait qu'elle dormait, elle entrouvit un oeil à moitié endormi et lança ces dernières paroles avant de replonger dans les limbes du sommeil, rêvant dont ne sait trop quoi :
"Mmmhh, Dulourd. Si t'as froid et que t'as pas de lit, ou tout simplement si t'en as envi, tu peux venir dormir dans mon couchage, avec moi. Promis j'te f'rais rien."

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